| Sujet: Description des lieux Mar 25 Sep 2012 - 17:24 | | [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Nouvelle capitale de la fédération Europa, Charlemagne a était construite dans un but de prestige. Situé au centre des ruines de l'ancien Bruxelles, c'est une ville carrée, avec de larges rues espacées, des immeubles dépassant pas les cinq étages et de nombreux arbres et buissons donnant à la ville un côté espaces verts, la rendant agréable à vivre. Au centre de la ville se trouve le palais du gouverneur général, grande bâtisse carrée entourée de hauts murs et protégée par une centaine de gardes qui patrouillent en permanence. Ce bâtiment d'un véritable bunker qui abrite en son sein la totalité des institutions gouvernementales du pays. Autour du palais se trouve les quartiers riches, où résident de nombreux capitaines d'industrie et autres membres du gouvernement. Plus on se rapproche de l'enceinte de la ville, plus les quartiers deviennent pauvres. En effet, la ville structurée de la manière suivante : plus on est proche du centre plus les quartiers sont riches et il est donc facile pour quelqu’un qui y entre de s’y retrouver. Tout a été construit de manière à ce qu’aucun doute ne persiste lorsque l'on entre dans la cité. Si la ville paraît agréable au premier abord, il ne faut pas se fier aux apparences. En effet, la délinquance est très faible mais c'est du beaucoup plus à l'omniprésence de la police et aux nombreuses caméras de sécurité qui jalonnent toute la ville qu'autre chose. En effet, le moindre de vos mouvements et espionné, enregistré et transmis au centre de communication qui n'est autre qu'un service qui se trouve dans le bâtiment juste en face du palais du gouverneur général. Ce service récupère les données, les analyse et, s'il vous trouve potentiellement dangereux, enverra des officiers vous arrêter. Dans les rues, de larges panneaux publicitaires font l'éloge du gouvernement de son action de lutte contre les barbares qui occupent illégalement le sol européen. Sur des écrans géants défilent en boucle les discours du gouverneur général à propos de divers mesures politiques. Sur ces discours, il exhorte les citoyens à être exemplaire, à faire preuve de patriotisme car c'est uniquement de cette manière, selon lui, que la fédération Europa pourra retrouver toute sa grandeur. Malgré cela, la ville reste agréable à vivre. De nombreux petits espaces verts apparaissent aux coins des rues, tous les bâtiments disposent de l'eau et de l’électricité, gracieusement fourni par une centrale nucléaire se trouvant aux abords de l'ancien Bruxelles, il n’y a plus de gravats dans les rues, et toutes ont étés nettoyées afin de fait en sorte que Charlemagne ressemble vraiment à une capitale d'avant-guerre. Il n'est pas rare que de nombreux défilés militaires aient lieus, ainsi que de nombreux meetings politiques, tous tenus par des proches du pouvoir afin de galvaniser les foules. Le nombre de petits commerces et étonnamment faible dans cette ville. En effet, la totalité des achats d'être fait dans de grandes surfaces qui se trouvent dans la ville : une au nord et une au sud. Ces deux grandes surfaces se livrent une guerre sans merci au niveau économique, n'hésitant pas à monter des fausses publicités, à saboter le travail de l'autre tout en évitant de se faire pendant les autorités. Si les quartiers les plus riches sont parfaitement sécurisés et entretenus, donnant l'illusion que tout est revenu à la normale, il en est tout autre chose pour les quartiers pauvres. En effet, si ceux-ci ne sont pas dans le même état que les quartiers de Gergovie, ils n'en demeurent pas moins insalubres, se livrant à un fort marché noir que la police tente bon gré mal gré d'arrêter. Dans ce quartier s'entassent les détritus et le rebut de la société et la police fait plus souvent des descentes, n'hésitant pas à abattre des gens pour limiter la surpopulation et arrêter toute personne qui peut paraître louche et en utilisant des lance-flammes pour détruire l'intégralité de la marchandise illégale. Lorsque la police descend dans ces quartiers, elle ne fait pas de sommation car elle n'est pas là pour rendre la justice mais pour limiter la population de Charlemagne qui a tendance à grossir trop vite. Le palais du gouverneur généralLe palais du gouverneur général n'a pas le faste que les palais des chefs d'État ont traditionnellement. En effet, cette bâtisse grise, carrée, cerné de hauts murs en béton armé où de nombreux gardes patrouillent jour et nuit est particulièrement austère. La porte d'entrée ressemble plus à une porte de prison qu’autre chose, les couloirs à l'intérieur sont froids larges et sombres, les fenêtres sont étroites afin de limiter les attaques contre le gouvernement et il y a des cartes à tous les croisements. Au premier étage se trouvent intégralité du bureau des services gouvernementaux ainsi que les archives dans lequel sont consignés tous les rapports concernant le moindre des citoyens et la moindre action du gouvernement. Seul le bureau du gouverneur général est un peu luxueux. Meubles Louis XV, tapisserie au mur, larges fenêtres avec de somptueux rideau, lustre en cristal, c'est la seule et unique pièce qui ne donne pas envie de se suicider dans ce bâtiment. Les salles des deux chambres parlementaires ont quant à elle, étés construites de manière fonctionnelle. De larges bancs permettre aux représentants de s'asseoir et une grande tribune leur permet de s'exprimer sans problème. Les supermarchésLes deux supermarchés, sont de bâtiments centraux dans la ville. En effet, c'est eux qui assurent la totalité de la vente de la nourriture, des biens de consommation, des meubles, du bricolage et de toutes autres choses dont les citoyens peuvent avoir besoin. Naturellement, ils ont tendance à s'arranger sur les prix afin de maintenir au-dessus du prix du marché. Les deux ressemblent à de grands hangars où sont entreposées dans des rayonnages l’intégralité des produits. Dans les deux, de nombreux employés sont là pour vous aider ainsi que pour s'assurer que vous ne manquiez de rien. Les deux enseignes solides par contre une guerre économique perpétuelle afin de s'attirer la clientèle. Leurs employés sont fidèles à mort car mieux payés que le reste des citoyens de la ville et n'hésiteront pas à faire ce que la direction leur demande afin de voir leur magasin prospérer. Les deux enseignes, celle du Nord s'appelant «Tory » et celle du Sud s'appelant «Labor », ne sont pas prêtes à accepter qu'un troisième concurrent vienne déranger dans leur duopole. Cependant, depuis quelques années, une moyenne surface du nom de «Libdem » a ouvert ses portes et tente tant bien que mal de peser dans le poids économique de la ville. C'est le seul commerce qui s'intéresse un peu aux pauvres et à leur pouvoir d'achat et il a déjà conquis une partie des citoyens de la ville. Cependant, il doit lutter constamment contre les deux grands qui cherchent à le détruire. Le « Massilia way of life »Le Massilia way of life et un entrepôt situé au fond des quartiers pauvres dans lequel tout s'achète et tout se vend. En effet c'est un des rares endroits où les pauvres peuvent se fournir ce que la société leur refuse mais où on peut aussi acheter des armes au sein de la ville. Du simple revolver jusqu'à l'arme de guerre, tout y passe en contrebande, bien sûr à prix exorbitant. La plupart du temps quand on y rentre, on entend des gens crier de tous les côtés, faisant leurs achats. Des armes, en passant par l'esclave, en allant à la drogue et à l'alcool, tout ce qui est interdit peut s’acheter ici. Le magasin a réussi à développer une petite milice privée, très bien équipé, qui la protège en cas d'attaque de la police. Le gouvernement, lui, ferme les yeux car ce commerce permet aux quartiers pauvres de survivre mais aussi car il risquerait de déclencher une guerre civile au sein de la cité s’il s’y attaquait. De plus, c'est ici que le gouvernement trouve les tueurs à gages qu’il embauche afin de faire disparaître les agitateurs politiques. De plus, la vente d'armes engendre des guerres de gangs au sein des quartiers pauvres qui font de nombreux morts, le gouvernement laissant faire car il trouve un moyen de régler la surpopulation chronique. |
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