| Sujet: Description des lieux Jeu 4 Oct 2012 - 6:45 | | De la fière cité parisienne il ne reste rien que des vestiges de sa gloire passée. Les immeubles haussmannien ne sont plus que décombres et poussières. Les rues pleines de vie et animées ont laissées la place à des terres dévastées où règne un silence de mort, excepté les bruits de bêtes se repaissant de leurs proies, les affrontements entre pillards et voyageurs, etc... Le métro a quand a lui, subit les assauts des eaux des canalisations qui ont envahi ses méandres, rendant la plupart des galeries inutilisables. Néanmoins, quelques traces de vie humaines subsistent et la vie y suit son cours. Regroupez en de petites communautés ça et là, les derniers humains peuvent occuper des lieux très diversifiés tels qu'un simple pâté d'immeubles ou bien encore un ancien quai de gare. La plus grande de ces communautés s'est bâtie et fortifiée autours de châtelet après l'arrivée de la fédération et ses habitants s'entassent dans ce ghetto pour avoir un accès rapide au marché de châtelet mais également dans l'espoir d'être inclus dans le prochain plan d'extension de la ville de Lutèce. Bien qu'il leur soit difficile de recenser efficacement la population dans le ghetto principal ou de connaître l’emplacement de toutes les communautés, la fédération essaye vaille que vaille de leur fournir un accès aux services élémentaires et surtout de les protéger d'un environnement hostile. Environnement que les dit habitants ont appris à mieux gérer et comprendre que la fédération elle-même. Concernant les ruines lugubres, quelques monuments sont cependant encore debout et témoignent tristement de ce qui fut la plus belle ville du monde: la Tour Eiffel se dresse encore dans sa dignité en lambeaux, le Sacré-cœur de Montmartre observe silencieusement la ville finir de se désagréger, l'Arc n'a plus de triomphe que le nom, le Louvre s'est effondré sur lui même et la Tour Montparnasse, dont les 25 derniers étages se sont écroulés, trône encore sur Paris. La tête nucléaire lancée par les communistes a eu une trajectoire mal calculée: au lieu de tomber en plein centre de l'ancienne ville et la réduire complètement en poussière, elle est tombé à quelques kilomètres, au niveau du quartier de la Défense, le pulvérisant entièrement, ce qui a, d'une certaine façon, sauvegardé en partie Paris, n'en laissant plus qu'une carcasse agonisante et radioactive |
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